4e de couverture de Going Underground, american punk 1979-1992, George Hurchalla : chronique Mike Vinikour, The Punk Vault/Spontaneous Combustion, juin 2005

GOING UNDERGROUND – punk américain 1979-1992
GEORGE HURCHALLA

par Mike Vinikour, The Punk Vault / Spontaneous Combustion

 Le texte figurant sur la 4e  de couverture du livre est extrait de cette chronique de Punk Vault

“Si des personnes qui n’étaient pas là à cette période lisent ce livre, elles en sortiront avec une bien meilleure compréhension de ce que représentait le monde du punk rock à l’époque, et avec un peu de chance, elles l’apprécieront et le respecteront autant que l’auteur, dont la passion pour l’ancienne scène punk n’a jamais semblé décliner ou s’aigrir, contrairement à certains. Je ne pourrai jamais suffisamment recommander ce livre, et j’espère en voir publier d’autres du genre à l’avenir.” — Mike Vinikour

Pour lire l’intégralité de cette chronique en anglais, c’est : ICI

Going Underground, american punk 1979-1992, George Hurchalla, chronique John James, Cincinnati CityBeat, Anchorage Press, Chattanooga Pulse, River Cities Reader

GOING UNDERGROUND – american punk 1979-1992
GEORGE HURCHALLA

Edition française de GOING UNDERGROUND

par John James, « Yeah Yeah Yeah »,
Cincinnati CityBeat, Anchorage Press,
Chattanooga Pulse et River Cities Reader 

(Chronique traduite de l’anglais par Paul Vincent)

« En me plongeant dans le super bouquin de George Hurchalla : Going Underground : punk américain 1979-1992, je peux presque sentir l’odeur de bière pression renversée et des toilettes rances des nombreux palais du punk à travers l’Amérique, qui maintenaient le mouvement en vie à l’époque – du 9:30 Club à Washington DC, au Club 57 à New York, en passant par le Gilman Center à Berkeley et le légendaire Jockey Club à Newport, Kentucky. Chapitre par chapitre, Hurchalla rend compte des contributions de chaque ville importante, avec la création et l’ascension des clubs influents, des groupes et des labels indés, le tout raconté à travers des anecdotes de musiciens, organisateurs de concerts, éditeurs de zines et participants à la scène. Truffé de flyers originaux et de photos rares, cette véritable tempête anthropologique pourrait laisser sur le cul les punks d’aujourd’hui, encore bébés à l’époque où c’étaient vraiment les années d’or. ‘Chérie, que va-t-on voir ce soir ? Les Necros, les Dickies, les Bad Brains ou Die Kreuzen ?’ ». – John James dans sa rubrique positive ‘Yeah Yeah Yeah’ publiée dans Cincinnati CityBeat, Anchorage Press, Chattanooga Pulse et River Cities Reader.

Going Underground, american punk 1979-1992, George Hurchalla, Chroniques de Lecteurs

GOING UNDERGROUND – american punk 1979-1992
GEORGE HURCHALLA

Edition française de GOING UNDERGROUND

(Chroniques de lecteurs traduites de l’anglais par Paul Vincent)

par Dean Gragg (Rock Zones United States) :

« The Best Book on Punk & Hardcore« , 8 février 2009

« En couverture, le mec qui vous fixe du regard en faisant un doigt c’est ‘Biscuit’, le chanteur des Big Boys. Cela vous indique immédiatement que ce n’est pas un livre myope de plus sur l’histoire du punk/HC, mais que c’est en fait le livre le plus complet édité sur ce genre musical. À l’intérieur, vous trouverez des écrits détaillés traitant du développement du punk et du hardcore en Amérique du Nord, avec une attention méritée prêtée au Midwest, au Canada et aux scènes moins cosmopolites où les punks ont dû lutter deux fois plus dur que leurs pairs des grandes villes pour que cela se produise. Naturellement, il est toujours question des grosses pointures de la côte Est et de la côte Ouest, mais cela parle également de groupes comme les Zero Boys, Die Kreuzen, Hüsker Dü, etc., sans compter tous les groupes essentiels du Texas comme les Big Boys, les Dicks, Really Red, MDC, DRI… Hurchalla montre le punk et le hardcore tel qu’il était vraiment aux USA et au Canada ; un réseau underground prospère de jeunes et de groupes à travers tout le pays. C’est de loin le meilleur point de départ pour n’importe qui s’intéressant au punk et au hardcore, aucun autre livre ne s’en approche autant. Et comme un vrai punk, Hurchalla a sorti ce livre par sa minuscule édition, sans aucune aide financière d’entreprises comme Sony ou MTV, au contraire de quelques autres livres qui ont fait appel à ces sociétés. » – Dean Gragg

par Brian Gta (Californie ):

« Going Underground is awesome!« , 28 juillet 2006

« Going Underground est impressionnant ! C’est mon premier livre de George Hurchalla, mais si c’est une indication de ses qualités d’écriture et de sa connaissance des sujets qu’il couvre, alors il a un avenir brillant devant lui dans l’édition. Going Underground, c’est l’histoire rarement racontée (et souvent inexactement pourrais-je ajouter) de la scène musicale punk hardcore des Etats-Unis. Non seulement Hurchalla parle de ses propres expériences au cours de cette période, mais il inclut également de nombreuses autres personnes qui furent impliquées, et l’auteur fait fort de ne pas se contenter d’interviewer les mêmes anciens qui ont déjà été cités en référence un million de fois. Ce livre est également plein de photos de l’époque jamais vues auparavant. Ce qui rend vraiment particulière l’écriture d’Hurchalla, c’est la manière dont ce dernier connaît et comprend son sujet, et son travail n’est jamais ressenti comme celui d’un ‘expert’ vieux jeu qui connaît tout. Ce livre est destiné à quiconque est intéressé par ce mouvement musical et il pourra plaire autant aux vétérans qu’aux tout débutants. Je ne peux pas assez le recommander. » – Brian Gta

par Rising Poppy (Michigan):

« A must read for any fan of hardcore punk« , 21 décembre 2007

« Un must à lire pour tout fan de punk hardcore. C’est sans aucun doute l’un des meilleurs travaux non-fictionnels que j’aie jamais lus, et j’en lis beaucoup. Tout fan de la scène hardcore américaine trouvera ce livre non seulement instructif, mais extrêmement distrayant. Hurchalla a fait un travail remarquable en couvrant la scène nationale dans son ensemble. Tant de livres édités sur le sujet couvrent seulement les plus grandes scènes de Los Angeles, New York, Washington DC, etc., mais dans celui-ci vous pouvez enfin avoir connaissance des scènes underground d’endroits comme Philadelphie (Pennsylvanie), le Texas, Cincinatti (Ohio) et Vancouver (Canada). Je craignais que l’auteur se soit principalement concentré sur l’information des régions dont il était le plus familier (la Floride et la Pennsylvanie) mais il a vraiment fait une large recherche et couvert le pays dans son ensemble. Je ne m’attendais pas à trouver quoi que ce soit concernant les régions qui me sont les plus familières, Detroit et Columbus, alors j’ai été très content de voir que des pages étaient consacrées à des groupes comme les Necros et Scrawl. Si vous hésitez encore à acheter ce livre, je vous le recommande vivement ! Vous ne serez pas déçus. » – Rising Poppy

par Cris (Angeles, Baby) :

« The best of the post-punk histories« , 24 juillet 2006

« La musique est inextricablement liée à l’autobiographie. Il y a des albums que vous adorez, pas intrinsèquement pour les chansons, mais pour le fait que dès l’instant où la première note jaillit du haut-parleur, vous vous retrouvez à nouveau à l’âge de 16 ans pendant un moment.

Dans Going Underground, Hurchalla n’hésite pas à mettre sa propre vie en avant et au centre de la narration. Ce livre n’est pas un historique des groupes à la manière du livre Our Band Could Be Your Life, de Michael Azerrad, cependant, il est truffé de citations formidables, d’anecdotes et de douzaines d’interviews géniales de groupes incroyables. Les Big Boys, Naked Raygun, Articles of Faith, les Dead Milkmen, Scrawl, Minutemen et des centaines d’autres au fil de la lecture.

On ne retrouve pas non plus ce penchant commérage-indé du livre American Hardcore : a tribal history, de Steven Blush. Au total, c’est une histoire des différentes scènes, se concentrant souvent sur celles dont vous n’avez jamais entendu parler, comme à Lawrence, Kansas, ou à Des Moines, Iowa. C’est une histoire du punk et du hardcore basée sur des personnes qui ont rendu l’activité de ces scènes possibles : fans, auteurs de zine, musiciens, tenanciers de club.

Il est cependant beaucoup question d’Hurchalla lui-même. Son voyage à travers la scène hardcore est tellement plein de respect, d’étonnement et de joie que le livre entier s’anime au cours de ses histoires. Il passe des reportages aux interviews à de courtes anecdotes personnelles, nerveux et rapide comme un morceau de Wire, qui ne manque jamais d’électrifier.

En fin de compte, tout comme le livre d’Azerrad, Going Underground, révèle que cette scène musicale qui, de l’extérieur, ne paraissait souvent que coléreuse et violente, a été construite et maintenue liée grâce à l’amour qu’y mettaient ces gens. Et de toute façon, il est impossible d’avoir un mauvais livre avec Randy Biscuit en couverture. » – Cris

Going Underground, american punk 1979-1992, George Hurchalla, chronique Dagger

GOING UNDERGROUND – american punk 1979-1992
GEORGE HURCHALLA

Edition française de GOING UNDERGROUND

par Dagger

(Chronique traduite de l’anglais par Paul Vincent)

« A travers des interviews qu’il a lui-même réalisé, d’autres interviews provenant de fanzines, des photos, des flyers et sa propre mémoire Hurchalla a écrit un livre instructif sur le punk, qui va des débuts de la scène de L.A. (Dickies, Circle Jerks, etc.) jusqu’aux débuts des années ’90 et à des groupes qui n’avaient alors pas attiré mon attention, comme Gorilla Biscuits et NoMeansNo. On y apprend des trucs géniaux sur des groupes comme Government Issue (les dernières années difficiles du groupe, quand ils étaient à leur meilleur, mais avec Stabb étant impliqué dans une relation avec une fille de 15 ans) ; sur Frank Discussion, des Feederz, et le canular qu’il organisa dans un lycée en Arizona ; sur Naked Raygun, Hüsker Dü, JFA et, bien sûr, les Big Boys (le chanteur Randy ‘Biscuit’ Turner honore la couverture du livre) ; et sur beaucoup d’autres groupes. Hurchalla a fait du bon boulot et si vous collectionnez (et dévorez) les livres sur le vieux punk comme je fais alors vous trouverez celui-ci essentiel. » – Dagger

Going Underground, american punk 1979-1992, George Hurchalla, chronique Marc Savlov, Rock & Roll Books, The Austin Chronicle, juin 2006

GOING UNDERGROUND – american punk 1979-1992
GEORGE HURCHALLA

Edition française de GOING UNDERGROUND

par Marc Savlov, The Austin Chronicle, Rock & Roll Books, 2 juin 2006

(Chronique traduite de l’anglais par Paul Vincent)

« Hurchalla a visé juste en utilisant la photo de couverture prise par Dixon Coulbourn, du zine Idle Time,  représentant Randy « Biscuit » Turner, anciennement des Big Boys et aussi de cette terre, dans une attitude punk rock enflammée et faisant penser à Johnny Cash. Cette seconde édition est dédiée à ces deux icônes du punk d’Austin – donnant sans doute maintenant des concerts à travers l’immensément grand ouvert dans un fourgon Econoline avec Will Shatter, Joe Strummer et d’autres – et le livre inclut un chapitre additionnel sur la scène d’Austin/Texas d’une valeur inestimable, aussi historiquement parlant (le malentendu perpétuel entre les Big Boys et les Bad Brains homophobes de Washington DC est lourd de menace) et en tant que regard en arrière vraiment pas tout rose (le n° 6 de Maximum RocknRoll sous-titrant ironiquement en couverture : ‘Les Dicks : Un groupe de pédés cocos !?’). En essayant d’incarner l’intégralité du punk rock américain, même avec la date butoir approximative de 1992 à laquelle Hurchalla clôture judicieusement cet approfondi regard sur le passé ; le quotidien du garçon d’écurie des douze travaux d’Hercule semble franchement fun, fun, fun. Néanmoins, le travail fourni par Hurchalla est impressionnant, étant donné la nature plutôt réduite et fragmentée régionalement du hardcore américain dans les années ’80, bien avant que le Web permette le développement d’une véritable planète punk. En faisant un tour d’horizon de l’époque des eighties, cette dernière s’insinue partout sans toujours porter entièrement témoignage de sa bienvenue. Pour paraphraser les Butthole Surfers : ‘Dommage de ne pas l’avoir vécu au moment où ça se passait’ ». – Marc Savlov, The Austin Chronicle

Going Underground, american punk 1979-1992, George Hurchalla, Chroniques de Deadmetaphor, Alternative Tentacles, Encore Weekly

GOING UNDERGROUND – american punk 1979-1992
GEORGE HURCHALLA

Edition française de GOING UNDERGROUND

(Chroniques traduites de l’anglais par Paul Vincent)

sur Deadmetaphor (webzine) :

« …malgré le fait que cela semble être, essentiellement, une affaire individuelle, Going Underground est probablement le livre le mieux composé sur le punk post-Pistols (peut-être à l’exception de Our Band Could Be Your Life, qui a eu le soutien d’une grande entreprise de presse). En effet, Going Underground a de loin un meilleur aspect, est mieux écrit et édité que son concurrent principal, American Hardcore: A Tribal History, qui a eu le soutien d’une presse indépendante mais expérimentée. » – Deadmetaphor

sur Alternative Tentacles.com :

« Beaucoup plus enraciné en réalité que le livre colporteur de rumeurs et très limitatif American Hardcore, paru il y a deux ans, Going Underground restera un classique du punk pour des années à venir ! » – Alternative Tentacles

sur Encore Weekly, Caroline-du-Nord :

« Le punk fait maintenant partie intégrante de la culture américaine, mais il n’en a pas toujours été ainsi. Le livre de Hurchalla sert de fenêtre s’ouvrant sur une période et à un endroit où le punk signifiait quelque chose de complètement différent. Les célébrités n’avaient pas d’iroquoises et les gens ne pensaient pas toujours que vous étiez cool d’être entièrement vêtu en punk. Mais c’était un mouvement indépendant où les gens avaient le contrôle complet de leur musique et de leur culture ». – Encore Weekly, Wilmington,NC

Going Underground, american punk 1979-1992, George Hurchalla, chronique Jeff Fox, Barracuda

GOING UNDERGROUND – american punk 1979-1992
GEORGE HURCHALLA

Edition française de GOING UNDERGROUND

par Jeff Fox, Barracuda

(Chronique traduite de l’anglais par Paul Vincent)

« C’est à la manière de Going Underground que devraient être écrits les livres concernant le punk : d’un point de vue personnel et local. Ce livre, au ton familier et très personnel est rafraîchissant et tellement nécessaire comparé à la kyrielle de rétrospectives prétentieuses et arrogantes sur le punk américain publiées ces dernières années… Une autre chose qui place Going Underground indépendamment d’autres livres est que George Hurchalla ne fait aucun effort pour assimiler rétrospectivement la scène punk à un certain genre particulier de sérieux ou d’importance. Ouais, bien sûr, le courant dominant s’est emparé des modes et des sons du punk. Mais Hurchalla argue du fait que c’était justement le manque total de sentiment de grandeur qui rendait le punk rock si distrayant. Un excellent ouvrage sur un sujet tout aussi compliqué qu’intéressant ». – Jeff Fox, Barracuda

Going Underground, american punk 1979-1992, George Hurchalla, chronique Jimmy Alvarado, Razorcake, non-profit DIY punk rock fanzine

GOING UNDERGROUND – american punk 1979-1992
GEORGE HURCHALLA

Edition française de GOING UNDERGROUND

par Jimmy Alvarado, Razorcake

« RAZORCAKE is the first and only official non-profit DIY punk rock fanzine in America primarily dedicated to supporting independent music culture. »

(Chronique traduite de l’anglais par Paul Vincent)

« …ce qui rend le livre d’Hurchalla si indispensable est qu’il capture l’esprit du mouvement, le sens idéaliste de son objectif qui, en dépit des nombreux points faibles du punk, est parvenu à survivre et continue à influencer un large échantillon de personnes… ajouté au tout aussi excellent Fucked Up and Photocopied (The Instant Art of the Punk Rock Movement) paru chez AK Press, Going Underground s’impose maintenant comme le récit historique ultime de la scène punk/hardcore américaine. George, je te salut bien bas avec mon béret usé. » – Jimmy Alvarado, Razorcake

Going Underground, american punk 1979-1992, George Hurchalla, chronique James Mann, The Big Takeover

GOING UNDERGROUND – american punk 1979-1992
GEORGE HURCHALLA

Edition française de GOING UNDERGROUND

par James Mann, The Big Takeover

(Chronique traduite de l’anglais par Paul Vincent)

« Il est exactement comme il se définit : un regard approfondi sur la scène punk américaine de la période des groupes californiens à NoMeansNo. Avec des interviews tirés en grande partie de zines de l’époque, chaque page attise son lot de souvenirs. Naked Raygun sur une page, contredit par Black Flag ou Butthole Surfers à la suivante. Ce n’est pas gentillet, comme le regard d’un grand éditeur porté sur l’histoire ancienne, mais plutôt à l’image de la musique dont il est question dans ce livre : c’est un tour d’horizon cru et passionné sur une révolution des genres. Cette musique n’est jamais morte, mais a été récupérée, pourtant Hurchalla passe clairement au large de cela et retient juste ce qui importe. Bon truc ! – James Mann, The Big Takeover

Going Underground, american punk 1979-1992, George Hurchalla, chronique Brian, Grand Theft Audio

GOING UNDERGROUND – american punk 1979-1992
GEORGE HURCHALLA

Edition française de GOING UNDERGROUND

par Brian, Grand Theft Audio

(Chronique traduite de l’anglais par Paul Vincent)

« A chaque fois que j’entends parler d’un nouveau livre ou d’un article colportant une certaine connaissance de la scène hardcore américaine des débuts, je me demande toujours quel ‘expert’ autoproclamé est encore sorti de son trou, pour vendre sa came au sujet de quelque chose dont il n’a jamais fait partie, qu’il n’a jamais compris et à laquelle il n’a jamais prêté attention. Car voyez-vous, de nos jours tout le monde a en secret un passé ‘Hardcore’ ; gardé silencieusement durant toutes ces années jusqu’à ressentir l’envie de le faire savoir au monde entier. Alors quand j’ai entendu parler de Going Underground, je me suis demandé qui était George Hurchalla et quel mauvais rock branché il pourrait faire sortir de sous terre. Et il s’est avéré que Hurchalla n’était pas un quelconque branché pleurnicheur, et le choc des chocs était de découvrir quelqu’un qui écrivait réellement sur quelque chose dont il faisait partie et qu’il comprenait. En faisant ça simplement, George Hurchalla a tapé dans le mille. Qu’est donc le ‘ça’ dont je viens de parler ? Le vibe, le feeling, le ‘bouge-toi et fais-le car tu n’as pas besoin que quelqu’un d’autre le fasse pour toi ; l’esprit du hardcore. George Hurchalla était là, en  apprenant beaucoup et contribuant à l’ancienne scène hadcore. Mais plutôt que de paraître comme certains qui veulent montrer à quel point c’était cool d’être un excentrique par le passé, Hurchalla transmet avec passion et enthousiasme son respect de ces périodes et des gens ayant fait que tout cela se produise : les un peu célèbres, les pas trop célèbres et les clairement oubliés. Going Underground est un compte rendu factuel enthousiaste de la scène hardcore américaine des années 1980 ; présentant autant les bons que les mauvais aspects de ce mouvement musical Do It Yourself. Hurchalla est un bon auteur et il a compris ce que la conception d’un grand livre demandait. Pour quiconque ayant un intérêt pour la scène hardcore américaine des années 1980, ce livre est un must. » Brian/Grand Theft Audio